Sur Les Thermes de Saujon – Cent soixante ans d’une histoire médicale et entrepreneuriale (2020)
Olivier Dubois, Directeur des Thermes de Saujon : « Je remercie Elisabeth Bourguinat d’avoir mené à bien la rédaction de ce livre avant autant de sérieux que d’enthousiasme. Grâce à elle, nous disposons désormais d’un document utile, fidèle à l’histoire des Thermes, qui sera un texte référent pour l’avenir, et qui est aussi un bel objet. J’admire Elisabeth Bourguinat d’avoir réussi à s’impliquer ainsi dans notre histoire. Elle sait faire preuve d’une grande ouverture d’esprit ainsi que d’une capacité remarquable de compréhension, d’analyse, de précision dans l’écriture et de synthèse. »
François Decaudin, ami d’Olivier Dubois et consultant : « Je connais les Thermes de Saujon depuis longtemps mais, en lisant ce livre, d’une rédaction agréable et très bien documenté, j’ai découvert énormément de choses que j’ignorais. Il restitue de façon très intéressante, et compréhensible par un non spécialiste, l’histoire de cette dynastie familiale et l’évolution de l’entreprise. Cet ouvrage contribuera certainement de façon très positive à l’image des Thermes de Saujon. »
Sur De la clôture à l’esprit libre – La transformation de l’entreprise Lippi (2019)
Frédéric Lippi : « Élisabeth Bourguinat avait rédigé deux comptes rendus d’interventions que j’avais faites à l’École de Paris du management et j’avais été frappé de retrouver dans ces textes, sinon les mots précis que j’avais employés, du moins la transcription fidèle des idées que j’avais exprimées. Bien que j’aie souvent eu affaire à des journalistes, c’est une expérience qui est restée unique pour moi. (…) Ce livre montre que le management est une science expérimentale et que la transformation n’est pas un phénomène linéaire, mais relève plutôt d’un mouvement brownien. Il retrace ces errements, ces difficultés, cette confusion, le fait que l’on doit parfois mener en parallèle des actions qui ont l’air contradictoires. Il nous a permis d’exprimer cette complexité et de la faire comprendre à notre famille. Nous avons ainsi pu nous réconcilier aussi bien avec notre oncle qu’avec notre père, et j’en suis extrêmement heureux… »
Loïc Ballet, responsable de la production chez Lippi : « En lisant ce livre, j’ai éprouvé une immense fierté, car il retranscrit fidèlement l’histoire de mon entreprise. Je dis bien mon entreprise et pas l’entreprise, car c’est bien comme mon entreprise que je la perçois. C’était formidable de retrouver, au fil des pages, des épisodes que j’avais un peu oubliés, en sachant que je m’occupe de la production et pas du tout du marketing, par exemple. J’aimerais que ce livre puisse servir d’inspiration à d’autres, et notamment à ceux qui se demandent comment gérer une entreprise avec des méthodes différentes. »
Francis Senceber, consultant : « J’ai fait lire ce récit à plusieurs chefs d’entreprise et ils m’ont tous dit : ‘C’est la première fois qu’un auteur n’essaie pas de nous fourguer des formules, des concepts et des principes dans tous les sens. On comprend vraiment ce qui s’est passé, et les retours des salariés nous aident à encore mieux le comprendre.’ Pour moi, le livre d’Élisabeth Bourguinat est un livre sincère, c’est très rare et précieux. »
Michel Berry, directeur de l’École de Paris du management : « Je me suis souvent dit qu’un jour j’écrirais un livre auquel je tenterais, en partant d’une aventure singulière, de donner une portée universelle, comme savaient le faire Balzac ou Zola, mais j’ai toujours été trop occupé pour me lancer dans ce projet. En lisant le livre d’Élisabeth Bourguinat sur l’entreprise Lippi, je me suis dit : ‘Voilà ! C’est cela : l’histoire d’une petite entreprise qui soulève des questions vraiment universelles’. »
Sur Réinventer l’industrie, les aventures de Joseph Puzo (groupe Axon’, 2015)
Joseph Puzo, PDG du groupe Axon’ : « Le livre qu’a écrit Élisabeth Bourguinat sur Axon’ participe au management de l’entreprise, car il permet de communiquer sa culture à tous les salariés. Comme nous avons des filiales un peu partout dans le monde et que plus de la moitié des effectifs du groupe ne parlent pas français, je l’ai fait traduire en anglais et je l’ai distribué, dans l’une ou l’autre langue, à tous les salariés. J’en ai fait tirer au moins 2 000 exemplaires en français et 2 000 en anglais. »